D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu des carnets d’inspiration – avant même de savoir que ça s’appelait comme ça. Ado, je découpais religieusement mes silhouettes préférées dans les magazines de mode et je compilais des photos de déco « pour ma maison de quand je serai grande » dans des carnets amoureusement choisis. 

Celle qui avait un carnet d’inspiration à l’heure de Pinterest et d’Instagram

A l’époque, l’internet mondial n’en était qu’à ses balbutiements (OMG cette phrase me vieillit de 120 ans), et les réseaux sociaux n’existaient pas (je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans… bon ok en fait j’ai 120 ans). Fast forward : on est en 2010, je prépare mon mariage et je crée ce blog. L’internet mondial est déjà mon meilleur ami, mais Pinterest n’existe pas encore, j’enregistre donc frénétiquement des images dans des petits dossiers classés par thème sur mon ordi.

Et comme je suis une nerd (cachée dans la peau tendance d’une blogueuse, mais une nerd quand même), je continue à découper dans les magazines et même à imprimer des images que je rassemble dans un grand cahier, pompeusement nommé « carnet d’inspiration de mon mariage ».

Lorsque Pinterest est arrivé, j’ai donc assez logiquement embrassé ce réseau avec l’enthousiasme d’un pionnier du Far Ouest à qui on annonce qu’il aura bientôt l’eau courante, conquise par cette version moderne du carnet d’inspiration. De fait, Pinterest est rapidement devenu – et reste à ce jour – l’un de mes réseaux préférés (et l’un des vôtres aussi, puisque vous êtes plus de 119 000 à suivre mon compte Pinterest ! Merci !).

Et pourtant… je continue à découper des photos et à griffonner à tout va dans mes carnets chéris.. Mes carnets sont non seulement une source d’inspiration, mais les créer m’apaise et a un effet quasiment méditatif sur moi. Ce sont des témoins de mon histoire personnelle, de mes cheminements et parfois de mes errances, des instantanés de l’époque, et même s’ils sont dénués de toute prétention artistique, le soin que j’y apporte les rend précieux à mes yeux, tout comme leur toucher, cette sensualité particulière du beau papier.

Thibierge, le carnet d’inspiration à l’ère digitale

J’ai donc une passion pour les carnets. J’en ai des dizaines, c’est en général la première chose que je ramène de voyage. Impossible de résister à un beau carnet ! Depuis quelques semaines, c’est ce carnet signé Thibierge qui ne quitte plus mon sac. Emeric Thibierge, le fondateur de la marque, a inventé le métier de créateur de papier et a travaillé pour les plus grandes maisons dans la mode.

Fou d’écriture, il a imaginé ce qu’il considère comme le carnet parfait: composé d’une enveloppe rigide laquée, il accueille deux recharges de papier qui se fixent grâce à un rail magnétique. Agenda, lignes, points : on peut ainsi choisir le type de mise en page qu’on préfère. L’appli Thibierge associée permet de les numériser et de les classer facilement, ce qui est génial lorsque l’on navigue comme moi en permanence du papier au digital.

Protégé par sa coque rigide et un système de fermeture magnétique breveté, le carnet Thibierge est presque un objet d’art. Le papier du carnet est en soi un exploit, puisqu’il s’agit du papier le plus souple et agréable au monde pour écrire, du papier de lin, tout en étant ultra-fin (à peine 6mm pour 200 pages !). Ce que j’ai appris, c’est que le lin est une ressource éminemment plus durable que le bois, puisque sa culture nécessite peu d’apport et qu’il est recyclable. We like !

Photos © La Fiancée du Panda

Où l’acheter ?

Vous pouvez le trouver en ligne sur le site de Thibierge et en exclusivité au Printemps Haussmann à Paris (rez-de-chaussée du Printemps de la Mode).

Ceci est un article Partenaire réalisé en collaboration avec la marque Thibierge. Cliquez ici pour en savoir plus sur les partenariats.